16 juin 2013
Vision
"De mon village à cent à l'heure où les docteurs greffent les cœurs", disait le poète-musicien-tennisman Michel Berger.
Et de ma fenêtre, qu'aperçois-je ?
Hélas, certainement pas la flèche des Invalides sur laquelle se couchait l'ancien monde, dans les Mémoires d'Outre-Tombe.
Comme Chateaubriand, je voudrais voir l'aurore d'une nouvelle humanité. Sauf que contrairement à lui, je verrais aussi l'après-midi et le soir.
Mais je n'aperçois que la silhouette du stade Diochon.
Alors, je reprends mon livre : Le Petit Prince, d'Antoine de Saint-Exupéry. Je vous livrerai mes impressions lorsque je l'aurai terminé.
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